Il n'y a aucune loi qui gouverne cette situation, ce qui faisait dire à l'économiste Herbert Simon que l'oligopole est "la disgrâce permanente et insolvable de la théorie économique" ("the permanent and ineradicable scandal of economic theory")[13]. L'assistant de Porter reconnut que les questions légales n'avaient pas été considérées lorsque Porter avait vendu ses conseils ; la ligne de défense de la NFL était qu'elle avait ignoré ces conseils[19]. - L'usage du mot stratégie en gestion d'entreprise s'est développé : ... L'histoire contemporaine de la stratégie peut être résumée autour de trois grands moments: - La naissance (1950 - 1970) - La critique (1970 - 1980) - L'éclectisme (depuis milieu des années 80) Pour Porter, la stratégie d'entreprise était toujours une question de positionnement. Au début, ces multiples défis ont été relevés, non pas par les business schools américaines, mais par les consultants, qui, par nécessité, se penchèrent sur les tensions et les pressions des changements advenant dans l'environnement économique. 1er Epoque : La stratégie d’entreprise des années 60. Seeger considérait dangereux de laisser des modèles de management substituer l'analyse et le "sens commun". Le "menu" de stratégies disponibles était restreint, et le choix dépendaient surtout, selon lui, de la nature de l'environnement concurrentiel, avec pour objectif de trouver une position qui puisse être défendue contre les concurrents existants et ceux qui tenteraient d'entrer sur le marché. Le manager en situation d'oligopole doit être stratégique, parce qu'il doit anticiper ces "mouvements adverses". Il est le co-auteur du populaire MOOC à l'origine de ce livre (Les fondements de la stratégie). Finalement, il fut jugé que la NFL avait enfreint la loi, bien que seuls des indemnisations dérisoires furent octroyées à la USFL. L'audit de stratégie a pour objet d'évaluer les chances de succès à terme de la stratégie suivie par une entreprise. Il diffère de ce que l'on nomme habituellement le diagnostic d'entreprise du fait qu'il recourt aux concepts et méthodes de l'analyse stratégique. Comme tous les théoriciens qui pensaient structurellement, il avait tendance à s'appuyer sur l'hypothèse que la structure avait "une forte influence sur la détermination des règles concurrentielles du jeu tout comme les stratégies potentiellement disponibles à l'entreprise"[15]. La stratégie - 4 - Elle consiste à obtenir un avantage concurrentiel grâce à la configuration des ressources de l'organisation dans un environnement changeant, afin de répondre aux besoins du marché et aux attentes des différentes parties prenantes Elle concerne les orientations à … Pour les économistes néoclassiques, la question était de savoir pourquoi certains marchés déviaient des modèles standards de la concurrence parfaite. Beaucoup d’outils ont été développés dans le domaine de la planification stratégique pour les aider à mieux prévoir leur environnement et à mieux planifier leurs opérations afin d’atteindre leurs objectifs. L’endroit est accueillant et les employés, qui sont eux-mêmes consi… Les entreprises pouvaient ensuite allouer leurs ressources à leurs différentes activités sur la matrice. Selon Henry Mintzberg[52], il est possible de distinguer dix écoles de pensée en stratégie : Pour la plupart des auteurs classiques, dont notamment Igor Ansoff, la stratégie est délibérée : elle se définit comme étant « les plans pour atteindre des résultats en rapport avec les missions et les objectifs de l’entreprise »[20]. Au même moment, il y avait une expansion équivalente du nombre de revues académiques de business, d'environ 20 à la fin des années 1950 à 200, deux décennies plus tard. En même temps, il y avait l'optimisme que la situation pouvait être rectifiée par « une science du management » que l'on pouvait transmettre aux étudiants comme une méthodologie pour la prise de décision. La présentation était méthodique et rigoureuse, offrant des principes simples et quelques tactiques spécifiques sur la façon de maintenir et améliorer une position concurrentielle. En 1980, 57 000 MBA étaient octroyés par 600 programmes, comptant pour 20 % du nombre total de diplômes de masters délivrés. Suntzu – l'art de la guerre: « L'art de la guerre de Sunzi (Ve siècle avant J.-C.) est le premier traité de stratégie connu au monde. Elle vise à choisir des actions, à les mettre en oeuvre et à les coordonner afin d'obtenir un résultat. Le mot n'apparaît même pas dans l'index de l'ouvrage Strategy and structure de Alfred Chandler, ou dans The Practice of Management de Peter Drucker[9]. Ce n'est pas parce qu'une théorie a de l'élégance et de la simplicité qu'elle "garantit du bon sens dans son utilisation"[12]. Historique de la stratégie d’entreprise Cette nouvelle matière est apparue aux états unis dans les années 1960. D'après Sir Lawrence Freedman, c'est le lieutenant-colonel Joly de Maïzeroy qui propose le mot français « stratégie » en 1771 — après avoir essayé « la stratégique » sur le modèle de « la tactique » et « la logistique » — comme « art du général »[2]. Il en ressortait alors, selon Porter, un "cadre de cinq forces" ("five forces framework") pour analyser une industrie, appelées aujourd'hui les Cinq forces de Porter. Encore une fois, le recours aux images pouvait induire en erreur. La matrice était définie par la croissance du secteur d'activité sur un axe, et la part du secteur d'activité sur un autre axe. Les axes de stratégies classiques cherchent à assurer sa rentabilité, son développement, sa pérennité et le bien-être qu'elle apporte aux salariés. Les entreprises devaient s'attendre à ce que les coûts déclinent systématiquement et de façon prévisible en conséquence de leur expérience productive supérieure. Il oppose que le management stratégique est un champ intégrateur du management qui combine l'analyse, la formulation et le déploiement dans la recherche d'un avantage concurrentiel, alors que la stratégie est l'ensemble des actions orientées vers un objectif qu'une entreprise a l'intention de réaliser dans la recherche d'obtenir et de maintenir un avantage concurrentiel. Ces métaphores étaient puissantes, et la logique convaincante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À la suite des travaux de Henry Mintzberg[32] ou du développement de la théorie des ressources depuis la fin des années 1990, notamment par Jay Barney[23], la plupart des chercheurs en stratégie ne distinguent pas la stratégie d'entreprise et le management stratégique, partant du principe que la définition d'orientations générales qui ne prendrait pas en compte leur mise en œuvre serait une démarche sans intérêt pratique. Approche pragmatique de la stratégie La stratégie d’entreprise désigne l’ensemble des choix et options d’allocation des ressources qui définissent le périmètre d’une organisation en vue d’assurer sa rentabilité, son développement ou sa pérennité. Arbitrages d'allocation de ressources entre les différents, Évolution du périmètre d'activité vers de nouveaux, le niveau général de l'entreprise, lorsque celle-ci rassemble plusieurs activités (et c'est un cas fréquent, la modification des conditions concurrentielles, qui relève de la, enfin, les travaux sur la stratégie émergente. La stratégie d'entreprise est fortement corrélée avec le temps (court, moyen, long terme) : la période de validité d'une stratégie ne sera pas la même selon le secteur d'activité. L'un des cours qu'il a pris était sur l'organisation industrielle. Il a fallu attendre 1980 pour qu'une percée majeure en stratégie d'entreprise nous vienne des business schools américaines. Il s'agissait toujours de fournir un guide de processus délibératif aux grandes entreprises, mais Porter, dans sa pensée, était plus ambitieux que Kenneth R. Andrews, plus pointilleux que Igor Ansoff, et moins convenu que Bruce Henderson[9],[14]. qui engagent l’entreprise dans le long terme et la dotent d’un avantage concurrentiel durable, décisif et … "From Substantive to Procedural Rationality," in Spiro J. Latsis, ed., au sein d'une économie qui ne cessait de croître, http://www.cnrtl.fr/etymologie/strat%C3%A9gie, http://www.strategie-aims.com/aims/presentation/. Les profits devraient être plus que suffisants pour motiver une entreprise, mais certaines industries étaient profitables à l’extrême. La stratégie est classiquement du ressort du dirigeant (P-DG, directeur général, gérant, etc.). En 900, l'empereur byzantin Léon VI le Sage parle dans son traité sur la tactique de l'« art du strategos » pour traduire le latin Ars bellica. On distingue : La diversification liée (lorsqu'il existe des synergies entre la nouvelle activité et l'ancienne : iPod, iPhone et iPad pour Apple). Il risque donc de se contenter d'officialiser les stratégies émergentes développées par l'entreprise ou de surinterpréter les succès passés, jusqu'à provoquer une éventuelle dérive stratégique[33]. La diversification conglomérale (lorsqu'il n'existe pas de synergie : transport aérien et téléphonie pour Virgin). Trois niveaux de stratégie Il existe trois niveaux de stratégie qui peuvent être mis en œuvre dans une entreprise. Un certain nombre de facteurs étaient connectés avec chacune d'entre elles. ), trois modalités de développement sont envisageables[36] : Un élément central des choix stratégiques concerne les relations interorganisationnelles, c’est-à-dire l’ensemble des relations entre organisations[41]. La stratégie doit faire correspondre les ressources et compétences de l'organisation (prépondérantes selon l'approche par les ressources défendue notamment par Jay Barney[23]) aux menaces et opportunités de son environnement (prépondérantes selon l'approche de Michael Porter[21]). “Dès le départ ils se sont positionnés comme n’étant pas un café standard mais comme un endroit intermédiaire entre la maison et le bureau. L’entreprise veut chouchouter ses clients, en leur proposant un service individualisé. En 1965, la fondation Ford rapportait « une utilisation croissante d'analyse quantitative et de model building » (« construction de modèle ») et plus de publications dans des journaux spécialisés en économie, psychologie et statistique[6]. Le but était de trouver une "relation significative et quantitative" entre une entreprise et les marchés qu'elle vise[10]. À la suite notamment des travaux de Henry Mintzberg, la planification stratégique est désormais considérée comme une approche datée. Le mot stratégie provient du grec στρατηγός (strategós), construit à partir de stratos (armée) et ageîn (conduire). Il était par conséquent attiré par l'idée de systèmes tendant vers l'équilibre, et que la stratégie d'entreprise avait pour objectif, dans un système incluant des concurrents, d'être l'un des premiers à bouleverser l'équilibre et à le rétablir par la suite, sur des fondements plus favorables bien entendu. Les autres manuels de référence, notamment ceux Johnson et al. Alors que les business schools américaines encourageaient encore l'analyse de situation spécifiques et uniques, Henderson a cherché à établir des théories solides qui pourraient guider le consultant lorsqu'il s'agirait de considérer les situations de nouveaux clients. A. Ch. L'une des meilleures illustration de cette émergence peut être trouvée dans la création d'un cours de Business Policy à Harvard Business School au milieu des années 60. L'influence de Horace Rowan Gaither, à travers la fondation Ford, sur le développement des études et écoles de commerce et de management aux États-Unis, est non négligeable. La dernière modification de cette page a été faite le 26 septembre 2020 à 09:57. Ou savez-vous comment améliorerlinterface utilisateur StudyLib? Au lieu de se demander comment le système pourrait être rendu plus compétitif, il s'est demandé comment une unité au sein du système pouvait exploiter et même intensifier des éléments anti-concurrentiels pour gagner un avantage stratégique[9]. Le professeur John Seeger a observé avec ironie que "les chiens peuvent être sympathiques, les vaches peuvent avoir besoin d'un taureau maintenant, et puis de rester productives, et les étoiles peuvent se consumer d'elles-mêmes." À peu près au moment où Harvard créait son cours de business policy, Bruce Henderson a créé le premier de cabinet de conseil spécialisé dans la stratégie, le Boston Consulting Group[8]. Aux critiques qui relevaient que son analyse était trop statique, Porter a répliqué que les cinq forces avaient toutes besoin d'être surveillées justement parce qu'elles changeaient[9]. Les gros comme les petits commençaient à être exposés à une concurrence étrangère croissante, notamment de la part d'entreprises japonaises "insurgentes" avec une meilleure attention aux nouvelles technologies et aux coûts plus bas pour conquérir de nouveaux clients. Étrangement, il poursuit ensuite par un Ph.D en business economics ("économie de l'entreprise"). Philippe Silberzahn, Les trois niveaux de la stratégie : de la tactique à la stratégie intégrée, 2011. Ce n'était donc pas juste l'augmentation de l'offre qui a créé cet intérêt pour les théories économiques de la décision mais aussi les changements dans la demande de la part de l'environnement économique. Ce n'était pas quelque-chose qu'il a évoqué explicitement, mais comme le remarque l'universitaire canadien Henry Mitzberg, "Si le profit réside vraiment dans le pouvoir de marché, alors il y a clairement plus que des moyens économiques pour le générer." [16] Porter a pratiquement fait le lien entre position concurrentielle et aide du gouvernement lorsqu'il a remarqué de quelle façon les gouvernements peuvent "limiter ou même interdire l'accès à l'industrie avec des moyens de contrôle comme des exigences de licences et des limites de l'accès aux matières premières". Afin de définir vos objectifs à moyen et long terme, il est essentiel de travailler sur la stratégie de votre entreprise, et de spécifier ainsi les moyens nécessaires. Par conséquent, les effets d'une part de marché plus grande pouvaient être calculés. Cela, à cause d'un manque de pression concurrentielle, ce qui était favorisé par des "barrières à l'entrée" - la difficulté rencontrée par tout entrepreneur qui cherche à entrer sur un marché et s'y maintenir. Son approche était davantage déductive qu'inductive. Sous l'influence de Gaither, Ford a dirigé de vastes sommes d'argent vers les meilleures écoles de business pour créer des centres d'excellence, haussant le calibre intellectuel et professionnel des générations à venir de managers et de leurs professeurs. Les caractéristiques de la stratégie d’entreprise. Herbert A. Simon. La démarche est largement utilisée dans les années 1970 et demeure encore souvent appliquée dans les grandes entreprises, notamment dans l'énergie ou l'aéronautique. Le risque principal est que tous les concurrents apportent des réponses équivalentes, ce qui selon la théorie néo-institutionnelle provoque une institutionnalisation de l'industrie. Cest très important pour nous! Il y a aussi discuté de dans quelle mesure les barrières à l'entrée pourraient être élevées plus haut que ce qui advient naturellement, avec des méthodes comme ː former des accords exclusifs avec des magasins pour geler ses concurrents, s'arranger avec les fournisseurs, et même travailler en coalition avec d'autres entreprises installées[18]. "Stratégie" est usuellement opposé à "tactique", qui pour ce dernier mot renvoie plus à une logique d'ordonnancement, de méthode. Étymologie et histoire de la stratégie d'entreprise, Émergence de la stratégie d'entreprise dans les, Bruce Henderson et le Boston Consulting Group, Stratégie par domaine d'activité stratégique, Planification stratégique et management stratégique, Stratégie délibérée et stratégie émergente, « La stratégie consiste à déterminer les objectifs et les buts fondamentaux à long terme d’une organisation, puis à choisir les modes d’action et d’allocation de ressources qui lui permettront d’atteindre ces buts, ces objectifs », « La stratégie est la conception que la firme se fait de ses activités, spécifiant son taux de progression, les champs de son expansion et ses directions, les forces majeures à exploiter et le profit à réaliser », « La stratégie, face à la concurrence, est une combinaison des objectifs que s’efforce d’atteindre la firme et des moyens par lesquels elle cherche à les atteindre », « La stratégie est l'ensemble constitué par les réflexions, les décisions, les actions ayant pour objet de déterminer les buts généraux, puis les objectifs, de fixer le choix des moyens pour réaliser ces buts, de mettre en œuvre les actions et les activités en conséquence, de contrôler les performances attachées à cette exécution et à la réalisation des buts », « La stratégie est la fixation d'objectifs en fonction de la configuration de l'environnement et des ressources disponibles dans l'organisation, puis l'allocation de ces ressources afin d'obtenir un, « La stratégie est l'ensemble des décisions et actions qui orientent de façon déterminante et sur le long terme, la mission, les métiers et activités de l'entreprise, ainsi que son mode d'organisation et de fonctionnement », « La stratégie d'entreprise, selon notre perspective, est un ensemble cohérent de choix et de mesures à prendre pour réaliser une certaine vision de l'entreprise et créer une valeur économique durable dans un contexte de marchés donné », « La stratégie est l'orientation à long terme d'une organisation », « les plans pour atteindre des résultats en rapport avec les missions et les objectifs de l’entreprise ». Le défi consistait à développer le raisonnement nécessaire dans des termes suffisamment explicites pour être "exécuté de façon coordonnée dans des organisations complexes"[9]. les politiques de diversification modifient le périmètre d'activité de l'organisation en termes de nouveaux produits et/ou de nouveaux marchés. L'émergence de la stratégie d'entreprise est beaucoup plus récente. Divers auteurs présentent une définition de la stratégie d'entreprise : Dans son approche économique, elle est l'ensemble des méthodes qui maximisent dans un univers conflictuel ou concurrentiel2 c'est-à-dire face à un rival, un opposant, un adversaire, un concurrent ou un ennemi les chances d'atteindr… Michael Porter, spécialiste dans le domaine de la stratégie a défini celle-ci comme suit : « La Stratégie, c’est la réalisation des choix d’allocation de ressources (financières, humaines, technologiques, etc.) Porter insistait qu'il soutenait la législation antitrust, et il faut noter qu'il y avait un certain degré de flou autour de cette législation à propos de la sévérité avec laquelle elle devait être appliquée à tout moment, et cela dépendait souvent des circonstances économiques. Les plus célèbres stratèges de l'histoire athénienne sont Périclès et Xénophon. Vous pouvez ajouter ce document à votre ou vos collections d'étude. Alain Vas - Docteur en Sciences de gestion, il est professeur en Stratégie et Gestion du changement à la Louvain School of Management de l'UCL (Belgique). Alors que pour ces mastodontes, l'organisation interne était un problème majeur, précisément à cause de leur taille et de leur poids et la contrainte de la législation antitrust américaine, la compétition n'était pas si importante pour elles. Porter a avancé trois stratégies génériques ː rester le leader du marché en gardant les coûts bas ; vendre un produit qui est suffisamment distinct des autres pour qu'il ne puisse pas être concurrencé par d'autres produits d'entreprises concurrentes (différenciation), et identifier une part spécifique du marché où il n'y aurait que peu de concurrents (spécialisation / segmentation). La clé était de trouver et d'exploiter les imperfections dans le marché. En revanche, en situation d'oligopole, le manager aurait des possibilités stratégiques, car il n'est pas complètement contraint par le marché, mais il est affecté par les manœuvres de ses concurrents[9]. Comme la meilleure position était censée être extrêmement rentable, elle fournirait par la suite des ressources pour améliorer encore plus sa position. La stratégie d'entreprise désigne l'ensemble des choix d'allocation de ressources qui définissent le périmètre d'activité d'une organisation en vue de réaliser ses objectifs. Les politiques d'intégration : Cette politique implique une croissance interne ou une croissance externe. DéfinitionS de la stratégie d’entreprise ! Le premier était la concentration des vendeurs (quel pourcentage du marché était contrôlé par les quatre plus grosses entreprises) et le deuxième, les barrières à l'entrée. Cependant, le dirigeant est nécessairement soumis à une rationalité limitée lors de ses prises de décision[32]. Ces conseils furent utilisés comme éléments de preuve quand la USFL a réclamé des dommages et intérêts à la NFL pour ses pratiques anti-concurrentielles. Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes? Nhésitez pas à envoyer des suggestions. Le problème était illustré par une liste de nombreuses options de cours sur les principes de la pâtisserie et de la boulangerie (« principles of baking ») qui existaient dans l'une des écoles du Sud. Avec une courbe sur un graphique, on pouvait montrer l'état d'une relation compétitive. Une stratégie d’entreprise se définit sur le long terme, c’est-à-dire à horizon de 3 ou 5 ans. En concurrence parfaite, le postulat à partir duquel la théorie économique s'est largement développée, les choix qui s'offrent aux acheteurs et aux vendeurs créent un potentiel équilibre autour d'un prix spécifique. 3/Stratégie et histoire de l’entreprise La stratégie d’entreprise dans les années 60 : paragraphe répété ?? Cette relation entraîne directement d'autres problématiques telles que l' incertitude lorsque les stratégies sont prévues sur le … Le mot στρατηγια (strategia), signifiant « commandement d'une armée » où « aptitude à commander une armée, qualités d'un général » et « manœuvre ou ruse de guerre » a été dérivé de strategos et est passé au latin sous la forme strategia, -ae avec le sens de « gouvernement militaire d'une province romaine » .
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